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Monmec.com

hopayra

On the Prowl
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Feb 5, 2006
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Je me suis inscrit sur Monmec.com version gay. Je suis tombé dessus par hasard, depuis une publicité lue sur l’un des nombreux blogs de voyeurs que je visite régulièrement. J’avais entendu parler de ce site de rencontres, comme tout le monde. Il semble avoir détrôné pas mal de sites du même genre sur la Toile et fait régulièrement l’objet d’articles dans la presse grand public. Mais je ne savais pas qu’il existait une version pour les homos. C’est le 24 décembre et je suis là, seul chez moi, à me morfondre. Je hais les fêtes de fin d’année. Depuis l’an dernier où j’ai été largué par ce que je croyais être l’homme de ma vie… Comme pour tout site de rencontre, il suffit de quelques clics pour s’inscrire, sans rien débourser. Il me semble que celui-ci est plus sérieux que tous les autres que j’ai déjà testés, aussi j’essaie d’être le plus précis et le plus honnête possible sur ce que je suis et sur mes attentes. J’hésite. Je veux absolument faire des rencontres pour trouver à nouveau le grand amour et j’en ai assez des moments d’un soir. Je rédige donc les quelques lignes de mon profil, censées attirer le chaland, dans ce sens. Mais, au moment de valider, je ne peux m’empêcher de rajouter que je suis quand même ouvert à toute proposition de simple instant de sexe. On ne sait jamais. Et puis je me dit que c’est comme ça que j’avais rencontré mon précédent P’tit gars. Je cherche, parmi la dizaine de photos que j’ai prises avec ma webcam, un portrait de moi qui ne me dégoûte pas trop. J’en sélectionne deux en fait, histoire de montrer ma tête : juste ce qu’il faut pour que celui qui tombera dessus ait envie d’en voir plus…

Mon inscription validée, je surfe sur le site. Je suis surpris du nombre de personnes qui est connecté en cette veille de Noël. Je ne suis manifestement pas le seul à jouer les solitaires en de telles circonstances. J’en profite pour poster quelques messages à de parfaits inconnus dont le profil est suffisamment rempli et qui ont eu la bonne idée d’afficher leur plus beau portrait ! Je prends beaucoup de soin à rédiger ce premier message. Je veux à la fois faire bonne impression, glisser juste ce qu’il faut de pointe d’humour, ne pas paraître trop pathétique à lancer ainsi une bouteille à la mer et susciter avant tout l’envie que l’on me réponde. En le relisant, je ne suis pas mécontent de moi et je clique pour le poster. En continuant de passer en revue plusieurs figures d’autres membres, je choisis de ne pas trop me casser la tête : mon premier message m’a suffisamment mobilisé les neurones pour décider de rentabiliser mon « travail intellectuel » ; j’effectue donc un savant copier-coller et poste un texte identique à tous mes correspondants, en me disant qu’au moins l’un d’entre eux choisira quand même bien de me répondre…

25, 26 décembres passent. Les repas de famille m’ont mobilisé – et bien gavés. J’ai pris au bas mot un bon kilo ! Ce n’est pas fait pour affiner ma silhouette et attirer l’homo que je sais sourcilleux sur le physique de ses amants… Je me re-connecte sur mon nouveau site de rencontre préféré qui est censé m’apporter, à l’instar du Gros bonhomme rouge ridicule, l’amour au pied du sapin. Surprise. J’ai reçus deux messages. Pas de ceux à qui j’ai écrit, mais ça me semble être malgré tout un bon début. Tous les deux ont publié leur photo. Ils ne m’attirent ni l’un ni l’autre. Je ne peux toutefois m’empêcher de leur répondre ; je me dis que je me dois de rester courtois, en espérant que ceux à qui j’ai moi-même écrit auront les mêmes égards pour moi.

Pour l’un d’entre eux, le dialogue s’instaure. Il est originaire de LYON. Soit totalement à l’opposée de chez moi. Très vite, nous échangeons nos adresses MSN. Il ne me plaît décidément pas, mais il a pas mal d’humour : ça me change de d’habitude. Il tente toutes sortes d’approches, histoire de me convaincre qu’il est fait pour moi. Mais non. Je suis toujours soucieux de ne pas remballer l’autre trop brusquement, aussi je ne sais comment m’en dépêtrer. Entre temps, je reçois d’autres messages postés sur Monmec.com. De tout. Beaucoup d’hommes d’origine africaine, soit habitant en France, soit implantés dans un des nombreux pays d’Afrique. Je sens l’arnaque et j’ai peur de servir d’hameçon pour une immigration facile déguisée en histoire d’amour. Fichue ambiance sécuritaire du pouvoir réactionnaire en place au sommet de l’Etat, qui déteint sur le citoyen que je suis ! Beaucoup de correspondants plus âgés que moi aussi, à qui j’ai dû taper dans l’œil avec ma photo. Si je me gausse fréquemment de la discrimination anti-vieux qui caractérise le milieu gay, j’avoue que je ne suis pas prêt à fréquenter un homme de dix ans mon aîné. Je m’astreins néanmoins à leur répondre que je ne suis pas intéressé et que je leur souhaite bonne continuation ; je me dis que je leur dois au moins ça : beau et bien élevé, voilà à côté de qui ils passent ! yerk, yerk, yerk…

Au fil de la semaine, si les messages ne sont pas abondants, ils n’en continuent pas moins de me parvenir, soit sous forme de mot envoyé, ou bien de « coups de cœur » qui me sont signifiés, ou encore de sélection de ma fiche dans leurs « contacts ». Serais-je devenu soudainement populaire ?! Je poursuis pour ma part la recherche du profil idéal, de celui qui saura faire battre mon cœur. Je trouve que ce site de rencontre est différent des autres, source de contacts plus fréquents – tout le monde ou presque n’est-il pas là pour trouver l’âme sœur ? – et de têtes que l’on ne voit pas sur les autres sites. C’est comme ça que je consulte, le soir du 31 décembre, la fiche d’un homme qui habite dans mon département, à quelques 20 km de chez moi et qui a mon âge. Son message publié sur son profil se résume à savoir si des musiciens sont inscrits sur le site. Bien que moi-même simple amateur en la matière, et encore, très peu doué, je tente ma chance en m’essayant à répondre à sa question par un trait d’humour…

Lui comme moi étant seuls – moi en tout cas une nouvelle fois un soir de fête – j’ai envie de lui proposer de converser ensemble, pour partager nos solitudes respectives. Mais je découvre, assez désagréablement, que je suis limité en nombre de messages envoyés sur Monmec.com. Eh oui ! ils savent y faire, les bougres… Au bout d’un certain nombre de correspondances, il faut bourse délier pour pouvoir communiquer avec ses semblables. J’enrage ! Je risque de passer à côté de l’homme de ma vie, qui sait, de mon Prince charmant, un soir de 31 en plus, et, pour une vulgaire histoire d’abonnement payant à souscrire, je suis empêché de dialoguer… Mais que fait la police ?! Tant pis. Je n’ai pas envie de payer près de trente euros pour me retrouver le bec dans l’eau, si ça se trouve, ayant trop espéré pouvoir nouer contact avec quelqu’un qui, certes, me plaît, mais dont je ne suis absolument pas certain que la réciproque est vraie. Je re-tenterai ma chance le lendemain ou le surlendemain, persuadé que cette limitation aux envois de mails n’est que temporaire.

De toute façon, je me suis convaincu, quelques jours auparavant, que je ne passerai pas la Saint-Sylvestre tout seul dans mon coin comme les années précédentes, mais que je profiterai de la soirée organisée dans un bistrot réservé aux gays de la régions pour réveillonner et m’amuser un peu. Qui sait si ce ne sera pas dans ces circonstances que j’arriverai à trouver chaussure à mon pied… Il se trouve cependant que je bosse ce jour-là. Et que, pour que l’ambiance soit au rendez-vous, il ne faut pas se pointer trop tôt dans la soirée. Je dispose donc de deux bonnes heures à trouver pour m’occuper en attendant de rejoindre la ville et ses folies. Je prends grand soin de m’habiller avec la tenue qui saura me rendre branché sans paraître trop ridicule, vu mon âge et mon style. Fin prêt, mais largement en avance sur l’horaire, je me cale dans un fauteuil, lampe tamisée, avec l’idée de piquer un roupillon, après une journée de travail bien remplie, pour mieux être en forme pour le restant de la nuit. Las. Je m’endors copieusement et ne me réveille que tardivement. Encore dans les vapes, je n’ai plus le courage de sortir, de prendre la voiture et de retrouver de parfaits inconnus dans un bar, alors même que je ne bois pratiquement pas ! Je suis bon pour me déshabiller, quitter ma tenue de futur ex play-boy et de me pelotonner dans mon lit – mon grand lit toujours aussi vide et froid…

Lendemain 1er janvier. Connexion à l’ordinateur. Je file sur le site de Monmec.com. Mince alors… Mon beau musicien m’a répondu. Tandis que je lui avais demandé si le fait d’être musicien du dimanche, ça marchait quand même – réponse à sa question sur la présence éventuelle de musiciens sur le site – en précisant toutefois que ce n’était peut-être pas terrible comme méthode d’approche, ma réplique a permis de le harponner et il me répond en me demandant ce que doit être la bonne méthode d’approche en général… Je sens l’excitation me gagner et je réplique aussi sec que je ne la connais pas et que c’est bien là mon problème. Et j’en profite pour faire celui qui s’intéresse ; je lui demande donc de quel instrument il joue. Mais il n’y a pas, Monmec.com bloque bien les messages à partir d’un certain nombre envoyé depuis la date de mon inscription et, si je veux voir déboucher quelque-chose de cet échange naissant, je suis bon pour mettre la main au porte-monnaie. Je m’acquitte donc de la somme réclamée pour un abonnement payant, après avoir étudié toutes les formules proposées en retenant la moins coûteuse et celle à la durée la plus courte, en espérant ne pas avoir à faire long feu sur le site. J’ai néanmoins le plaisir de voir que mon investissement a payé – c’est le cas de le dire – puisque le lendemain, je découvre un nouveau message de mon musicien préféré. Ce dernier joue du piano et me précise que, généralement, lorsqu’il l’annonce, ses interlocuteurs lui rétorquent qu’eux savent jouer du pipeau… Sans doute se croient-il irrésistibles ?! En plus, il conclut en me communiquant son prénom. Olivier.

Un pianiste. Et en plus il se prénomme Olivier. Et ses photos le montrent très, très séduisant. Que demander de plus ? Je le lui dis sans détour, ajoutant que je suis prêt à signer les yeux fermés devant Monsieur le Maire, puisqu’il a tout ce qu’il faut pour me plaire ! Je lui donne mon adresse MSN en espérant qu’il appréciera de pouvoir dialoguer ainsi plus facilement qu’en transitant par le site, avec à chaque fois une journée ou deux de décalage. Je clique pour envoyer mon nouveau message, fébrile à l’idée qu’une belle histoire risque ainsi de débuter. Mon horoscope – je devrais dire plutôt mes horoscopes : tous ceux que je me suis amusé à lire dans les différents journaux que me sont tombés sous la main – mentirait-il ? 2009 m’offrirait-il l’opportunité de retrouver les sensations si délicieuses d’un cœur qui bat pour un homme ?
 
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Could you please translate the text into Thai or Khmer so I can read it?
Thank you very big!
 
A [very] rough English Translation:

I registered with www. Monmec.com - gay version. I found it by chance when I read an advertisement on one of Peeping Tom’s blogs that I visit regularly. I had intended to speak about this chat site, like everyone. It seems to come off not too badly of sites this kind on the Internet and regularly is the object of articles in the general public press. But I did not know that there was a version for homos.

It is on December 24 and I am, alone here at home and bored. I hate the end of the year festivals. Since last year when I was released by what I believed to be the man of my life… As for any forum site, it only takes a few clicks to be registered, without payment. It seems to me that this one is more serious than all the others that I already tested, also I try to be most precise and most honest possible on what I am and on my needs. I hesitate. I want absolutely to make meetings to find again great love and I have plenty of time to spare. I thus write the few lines of my profile, supposed to attract attention, in this direction. But, at the time to validate my entry, I cannot prevent myself from adding that I am nevertheless open to any proposal for a simple moment of sex. One never knows. And then I think that it is as that that I had met my previous little guy. I seek, among ten photographs I took with my webcam, a portrait of me that does not disgust me too much. I select two of them in fact, just to show my head: all what it is necessary so that anyone who wants to see some more…

My registration validated, I surf on the site. I am surprised b the number of people who are connected on this day before Christmas. I am not obviously the only one to play the recluse in such circumstances. I profit from it to post some messages with the perfect strangers whose profile is sufficiently filled and who had the good idea to post their more beautiful portrait! I take much care to write this first message. I want at the same time to make good impression, to just slip in what is necessary from the point of humor, not to appear too pathetic and thus launching a bottle into the sea and causing before all the desire for one to answer me. By reading again it, I am not dissatisfied with myself and I click to complete the post. Continuously to review several figures of other members, I choose not too to break my link. My first message sufficiently mobilized me to decide to make profit from my “professional work”; I thus make a copy paste and post identical text to all my correspondents, by saying that at least one of them will choose well to answer me nevertheless …

25, 26 December pass. The family meals mobilized me - and well gorged. I put on at least a good kilo! It does not refine my silhouette and will not attract homos as I know can flinch about the physique of their lovers… I reconnect myself on my new preferred contact site that is supposed to bring to me, like a large ridiculous red catch, love at the foot of the Christmas tree. Surprised, I received two messages - not from those to whom I wrote, but it seems to me that despite everything this is a good beginning. Both sent their photograph. Neither actually attracts me. I cannot however prevent myself from answering them; I think that I must remain courteous, by hoping that those with whom I have been writing will have the same regards for me.

For one of them, the dialog is established. It is originating in LYON. That is to say completely with opposite of at home. Very quickly, we exchange our MSN addresses. I definitely do not like him, but he does not have humor badly: that usually changes me. He tries all kinds of approaches, history to convince me that he is made for me. But no, I am always concerned not to brush off the other too abruptly, also I do not know how to excuse myself. Meanwhile, I receive other messages posted on Monmec.com. Many of these are from men of African extraction, either living in France, or established in one of the many countries of Africa. I feel swindled by it and I am afraid to be used as hook for an easy immigration disguised as love. Rotten sedentary environment of the reactionary capacity in place at the top of the State, which hides my citizenship! Many correspondents older than me also, with which I had to type in the eye with my photograph. If I frequently discriminate against old men who characterize the gay medium, I acknowledge that I am not ready to link up with a man ten years my elder. I compel myself nevertheless to answer them that I am not interested and that I wish them good searching; I think that I owe them at least that: beautiful and raised well, here beside which they passes! yerk, yerk, yerk…

With the passing of the week, if the messages are not abundant, they do not continue any less to reach me, that is to say in the form of word sent, or of “blows of heart” which are meant to me, or selection of my card in their “contacts”. I would have become suddenly popular? I continue for my part the research of the ideal profile, of that which will be able to make beat my heart. In that this contact site is different from others, source of more frequent contacts - everyone or almost isn't there to find his soul mate? - and of heads which one does not see on the other sites. It is as that which I consult, the evening of December 31, the card of a man who lives in my department, a mere 20 km of my home and who is my age. His message published on his profile summary is asking if musicians are registered on the site. Although I am simply an amateur in that matter, and still, very little skilled, I try my chance while trying to me to answer his question by a feature of humor…

He as me being alone - me in any case once again an evening of festival - I want to propose to him to converse together, to share our respective loneliness. But I discover, rather unpleasantly, that I am limited in a number of messages sent on Monmec.com. Eh yes! they can make there, the guys… For a certain number of correspondences, it is necessary to untie the purse to be able to communicate with his similar. I mad! I am likely to pass beside the man of my life, who knows, of my Prince, Charming one evening of 31 moreover, and, for the vulgarity of paying to subscribe, I am prevented from dialoguing… But that made the police force?! Such an amount of worse. I do not want to pay nearly thirty Euros to find my nozzle in water, Yes that is, too having hoped to be able to tie contact with somebody whom, certainly, I like, but I am absolutely not certain that the reciprocation will be true. I will resound my chance the following day or two days later, persuaded that this limitation on the sending of e-mails is only temporary.

In any event, I was convinced, a few days before, that I will not spend New Year's Eve all alone in my corner like previous years, but that I will benefit from the evening organized in a bar reserved to the gays of the area for reveling and to have a little fun. Who knows if it will not be in these circumstances that I will manage to find a shoe with my foot… It is however that I bump this day. And that, so that environment is with go, one should not be pointed too early in the evening. I thus have two good hours to find to occupy me while waiting to join the city and its madness. I take great care to equip me with the behavior that will be able to return me connected without appearing too ridiculous, considering my age and my style. Fine loan, but largely advances some on the schedule, I am fixed in an armchair, lamp filtered, with the idea to prick a snooze, after one working day filled well, for being better in form for the remainder of the night. Mow. I fall asleep copiously and awake only tardily. I do not have the courage to leave any more, to travel by car to find the perfect unknown ones in a bar, while at the same time I practically do not drink! I am good to strip me, leave my behavior of future ex playboy and to wind into a ball me in my bed - my great bed always so empty and cold…

The following day - January 1. I connect my computer. I slip on the Monmec.com site. Thin then… My beautiful musician answered me. When I asked him whether the fact that I was only a ‘Sunday musician’, in answer to his question about the possible presence musicians on the site - while specifying however that it was perhaps not terrible like method of approach, my counterpart made it possible to harpoon him and he answers me by asking me what must be the good method of approach in general… I feel the excitation to gain me and I retort as dry as I do not know it and that it is my problem well there. And I benefit from it to do that which is interested; I thus ask him which instrument he plays. But there is not, Monmec.com blocks well the messages starting from a certain number sent since the date of my inscription and, if I want to see emerging something of this incipient exchange, I have to put cash down. I thus discharge sum claimed for a paying subscription, after having studied all the formulas suggested while retaining the least expensive and that of the shortest duration, while hoping not to have to make long fire on the site. I am pleased never the less to see that my investment paid - it is the case to say it - since the following day, I discover a new message of my preferred musician. This last plays the piano and specifies me that, generally, when he announces it, his interlocutors retort to him that they can play of the flute… Undoubtedly believed it irresistible?! Moreover, he concludes by communicating his first name to me. Olivier.

A pianist and more the fore-mentioned is Olivier. His photographs show him very, very tempting. Moreover, what am I to ask him? I say to him without replying, adding that I am ready to sign with the eyes closed in front of his worship the Mayor, since he has all that is necessary for me to like! I give him my MSN address hoping that he will appreciate being able to have a dialog more easily than forwarding messages via the contact site, each time having a lapse of day or two. I click to send my new message, feverish with the idea that a beautiful story is t likely to begin. My horoscope - I should say my horoscopes rather: all those that I had fun reading in the various newspapers that fell under my hand - lie? 2009 would offer me the advisability of finding the so delicious feelings of a heart that beats for a man?

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Literal translation:

We have not this kind of chat going on here register with priape.com and you can chat with guys in Quebec; as it is very cold this time we are all on line lol!!
 
Hopayra, toujours un fan... Une histoire d'apparence plus personnelle... Bien hâte de savoir où tout cela mènera.
 
Flash-back


Ma vie a longtemps été un désert sentimental. Parce que je n’en éprouvais pas le besoin, parce que le sexe n’a jamais vraiment été ma priorité. Je sais, je détonne dans l’univers des homos, qui ont la réputation de sauter sur tout ce qui bouge, seulement obnubilés par la rencontre facile et le sexe à tout prix. J’ai eu ma première expérience à quinze ans. Avec le fils d’amis de mes parents. Une idée derrière la tête, je lui avais proposé de « jouer aux Romains ». Vous savez cette peuplade antique qui ne portait que des toges pour seul vêtement. Très facile à imiter, ça, rien qu’une toge sur le dos. Enfin, quand je dis « sur le dos », la pudeur incite à la draper en bandoulière pour cacher ce qui doit l’être. Mais en étant entièrement nu en-dessous. Il était amoureux d’une fille dans son lycée. Il m’en avait parlé, vantant combien elle devait être chaude. J’avais acquiescé, sachant pertinemment que les filles ne m’intéressaient pas. Depuis l’âge de huit ans, mon cœur n’avait battu très fort que pour des hommes. Je ne mettais pas de nom sur cette réaction, ne sachant même pas ce qu’était l’homosexualité. Mais je me rappelle très bien cet homme dans la force de l’âge, qui tenait l’épicerie en face de la maison de mes grands-parents. Et combien j’étais fasciné par lui et combien je le trouvais séduisant. Plus tard, au collège, je n’avais d’yeux que pour les camarades de ma classe les plus populaires et les plus beaux. Ce garçon, Nicolas, grand blond aux yeux bleus, qui jouait au foot et qui semblait tellement à l’aise et sans complexe, ni vis-à-vis de son corps, ni dans ses rapports avec les autres – tous les autres. Et aussi, David, ce jeune à l’ascendance asiatique dont la rumeur courait qu’au cours d’une boum, l’une des filles en dansant un slow avec lui avait fourré sa main dans son jeans. Et même, Philippe, ce jeune prétentieux issu d’un milieu bourgeois que je trouvais péter plus haut que son cul, mais dont le charme m’intriguait.

Bien que détestant le sport, je ne ratais pas une occasion de laisser courir mon regard sur leurs corps dans le vestiaire, au moment de nous déshabiller, au début et à la fin de chaque cours. Et même si je rêvais d’obtenir de mes parents ou de mon médecin de famille une dérogation permanente pour aller passer les deux heures d’éducation physique et sportive en études – tout plutôt que courir, sauter, m’essouffler sous l’effort, me ramasser à chaque exercice – je profitais au moins de ces instants volés dans les vestiaires pour fantasmer sur ces condisciples que je trouvais si beaux, aussi bien les quelques-uns de ma classe que ceux des autres sections qui partageaient avec nous les cours collectifs enseignés au gymnase. Ah, ces corps d’adolescents à peine formés, en chaussettes et en slips, le temps de revêtir le survêtement d’usage ! Est-ce de là que je garde cette prédilection pour les hommes nus ne portant qu’une simple paire de chaussettes de sport, blanches de préférence ? Rien que la vue d’un homme dans un tel accoutrement me donne des frissons et fait monter en moi le désir… Il est vrai qu’il y a une vingtaine d’années, la mode n’était encore ni au caleçon, encore moins au boxer. Mais Dieu qu’ils me plaisaient dans leurs sous-vêtements plus ou moins sexy, plus ou moins usés et leurs chaussettes de sport, dans ces vestiaires qui empestaient la sueur et l’odeur corporelle caractéristique des adolescents mâles à peine pubères, souvent négligents sur leur hygiène corporelle !

Et je ne rêvais que de douche où je pourrais entre-apercevoir plus que ce qu’il m’était autorisé de découvrir le temps d’un changement de vêtements. Mais, détestant le sport, je l’ai déjà dit, je n’avais pas accès aux entraînements et aux retours de matche d’une véritable équipe sportive, où l’esprit viril et hétéro n’empêche pas de s’amuser à chat-bite et de se balader à poil du banc de vestiaire à la douche et de la douche au banc de vestiaire, entre co-équipiers heureux de partager intimité et fraternité… entre « vrais mecs » quoi ! Il n’était pas – il n’est probablement toujours pas aujourd’hui – d’usage entre collégiens de se doucher après les cours, à treize ou quatorze ans. Le premier sexe de garçon, je l’ai donc découvert auprès de cet ami de mon âge, à l’occasion des déjeuners dominicaux partagés entre nos familles respectives. Pour tout dire, j’avais pu admirer sa plastique parfaite au cours de vacances passées en camping à Biscarosse un an auparavant. Si chacun de nous logeait en caravane, sans qu’il fût jamais question de tente à deux places pour dormir ensemble en copains comme le font les adolescents d’aujourd’hui, loin des parents, il arborait un maillot de bain entièrement blanc pour aller à la plage, qui, une fois sorti de l’océan, laissait transparaître des fesses aussi fermes que rebondies, mais malheureusement qui était doublé sur le devant pour empêcher de dévoiler un sexe qui ne cessait pourtant de m’attirer. J’avais bien tenté de me contorsionner chaque fois qu’il se changeait, priant pour que sa serviette tombât malencontreusement au moment propice, mais ce hasard qui m’aurait été heureux ne s’était jamais produit.

J’avais donc profité sans scrupule de la poursuite des rendez-vous dominicaux entre nos parents au cours de l’année suivante pour poursuivre mon but et découvrir l’objet de tous mes désirs. D’abord surpris par le type de jeu que je lui avais proposé, il s’y était très vite laissé prendre et n’avait pas hésité à tomber le slip, sous un drap judicieusement utilisé comme cache-sexe, pour entrer dans mes délires. Et c’est lui qui, un jour que nous étions restés seuls chez moi, m’avait touché le sexe le premier – oui, lui qui se déclarait excité par les filles de sa classe – et qui m’avait masturbé, faisant monter et gicler mon sperme, pour la première fois de ma vie. C’est lui qui m’a fait découvrir les sensations les plus délicieuses qui fussent, là où jusqu’alors je n’avais pris mon pied qu’au fur et à mesure que mon pénis se durcissait à l’évocation rêvée de mes camarades de classe pendant mon sommeil.

Notre aventure d’une découverte de nos corps respectifs et de la sexualité du monde adulte n’avait duré que quelques mois. Une après-midi que nous étions enfermés dans sa chambre, tandis qu’il m’avait proposé de nous embrasser sur la bouche, ce que j’avais refusé, trouvant ça sur le coup trop dégoûtant, nos parents s’étaient pointés pour tambouriner à la porte, après que nous avions été dénoncés par sa petite sœur, sale chipie que j’avais eu maintes fois envie de gifler pour son arrogance et sa bêtise. Nous avions dû nous rhabiller en quatrième vitesse, alors que nous étions nus l’un et l’autre enfouis sous les draps, et j’avais dû offrir un visage rouge comme un tomate à mes parents en tentant de nier nos turpitudes. Toujours est-il que je ne l’avais jamais plus revu et vingt ans après je ne sais pas ce qu’il est devenu. Il fut ma seule aventure sexuelle, ayant pratiqué depuis lors une abstinence complète avec tout autre partenaire, me contentant de feuilleter de temps en temps revues érotiques et livres de photographies de nu masculin, achetés en douce et consciencieusement enfermés à double tour dans un placard chez moi. La reconnaissance de mon orientation sexuelle, l’homosexualité, a d’ailleurs été particulièrement douloureuse et je ne parle même pas de coming out auprès de mon entourage. J’ai en effet vainement tenté de me persuader que je pouvais être comme tout le monde – c’est-à-dire hétérosexuel – en essayant de trouver une jeune femme qui voudrait bien de moi. J’ai même cédé à la tentation de m’inscrire dans une agence matrimoniale ; il m’en a coûté près de mille euros. Mais au fil des quelques six rendez-vous que la patronne avenante a voulu m’organiser, j’ai dû me résoudre à reconnaître que ce n’était décidément pas pour moi. A 24 ans, j’ai alors admis, non sans éprouver une grande souffrance, que j’étais homosexuel et que je devais enfin l’accepter. Même le mot me faisait jusque-là horreur et je ne pouvais le prononcer, même intérieurement. Non pas que j’eusse éprouver de la haine ou même de la simple réprobation pour ce type de comportement chez mes semblables, mais je ne pouvais concevoir en être un, avec tout ce que cela impliquait dans ma vie et dans ma relation aux autres.

Bien qu’ayant franchi cette étape, importante, de reconnaissance de ce que j’étais bon gré mal gré, je décidais de mettre entre parenthèses ma vie sexuelle et sentimentale et de me consacrer désormais à développer ma vie professionnelle et sociale. C’est comme ça que je me suis investi dans la fin de mes études, que je m’étais motivé à décrocher un emploi, stable de préférence, et à me faire construire une maison bien à moi, suffisamment vaste, même si je serai tout seul pour y vivre jusqu’à la fin de mes jours – et tant pis pour les médisants que j’ai entendu une fois faire remarquer, de manière à peine discrète, qu’il était bien surprenant qu’un homme tout seul habitât une maison aussi grande, alors que tant d’autres étaient mal logés ! J’ai également eu à cœur de m’investir dans la vie associative, multipliant les responsabilités et les coups de main donnés pour participer aux activités et mettre sur pied les manifestations locales ; j’ai même réussi à me faire élire, ô comme simple conseiller mais tout de même, au sein du conseil municipal de ma commune. Soucieux de ne pas me faire remarquer et de rentrer quoi qu’il m’en coûtât dans le moule de la normalité, j’ai veillé pendant toutes ces années à rester très discret sur ma vie sentimentale et très privée, ne démentant jamais combien je pouvais être un parti prometteur pour une jeune et jolie jeune femme et quelle joie je saurais procurer à mon entourage si jamais je décidais enfin de convoler en justes noces…

Mais divers déboires professionnels récents, une irritabilité de plus en plus difficilement contrôlable et la peur de me retrouver entièrement seul, tôt ou tard – je suis enfant unique et plutôt solitaire – m’ont obligé à réagir à l’aube de mes trente-deux ans. J’aspirais à connaître enfin le sentiment amoureux et je me suis senti prêt et parfaitement capable de supporter la vie – et la routine – d’une existence à deux. J’avais envie de sexe ! J’avais envie de petits matins partagés sous la couette ! J’avais envie de bras puissants dans lesquels me blottir ! J’avais envie de me sentir aimé…
 
Très touchant et une fort importante parenthèse... J'ai bien hâte de savoir où cela nous mène...
 
My life was a sentimental desert for a long time. Because I did not find the need, as sex was forever my priority really. I know, I clash in the homos’ universe, which is reputed to jump on all that moves, only facilitated by easy meetings and sex at all costs. I had my first experience, with the son of my parent’s friends.


An idea entered my head and I had proposed to him, “We should play Romans.” You know the ancient tribe that wore only togas. Very easy to imitate… merely a toga on one’s back. Lastly, when I say, “on one’s back,” decency requires one to drape it in like a scarf over the shoulder, while being entirely naked underneath. He was in love with a girl in college. He had spoken to me about her, praising how hot she was. I had agreed, knowing pertinently that the girls did not interest me. Since the age of eight years, my heart had beaten very extremely only for men. I could not put a name to this reaction, not knowing what homosexuality was. I remember this man, who ran the grocery store opposite my grandparent’s house very well, how I was so fascinated by him and how I found him so tempting. Later, in college, I only had eyes for the most popular of my class comrades and those who were most handsome. This boy, Nicolas, large and fair with blue eyes, who played football and who seemed so much at ease, without a complex, neither with respect to his body, nor in his relationships with others - all others. And as, David, this young person of Asian descent, of whom rumour said that one of the girls dancing a slow fox trot with him had put her hand in his jeans. And even, Philippe, this pretentious young person from a middle-class background that I found higher Peter, but whose charm intrigued me.


Although hating sport, I did not miss an occasion to let my glance run over their bodies in the cloakroom, when changing, at the beginning and end of each session. Even though I dreamed of obtaining a permanent exemption from the two hours of physical and sporting education studies from my parents or my family practitioner - I benefitted at least from these stolen moments in the cloakroom where I would fantasize over these schoolfellows who I found so beautiful. As well as some of my class, there were those of the other sections who shared the collective courses taught with the gymnasium with us.


Ah, these bodies of hardly trained teenagers, in socks and slips, time to adorn themselves with the tracksuit! Is this where I have this predilection from for naked men, preferably wearing only a simple pair of white sports socks? Only the sight of a man in such a getup gives me shivers and creates desire in me … It is true that there was a score of years, that the fashion was not yet nor with the pants, even less with boxers. God! I liked them in their more or less sexy, more or less used underclothing and their sports socks, in these cloakrooms that reek of sweat and body odor characteristic of the barely pubescent male teenagers, often negligent on their personal hygiene!


I dreamed only of showers where I could see more than what I was authorized to discover the time of changing clothing. However, hating sport, as I already said, I did not have access to the drives to and from matches of a true sporting team. Drives when the virile spirit and heterosexuals are not prevented from having fun with cat-cock and trotting naked from the cloakroom bench to the shower and the shower to the cloakroom bench , happy fellow-members to share intimacy and fraternity… between “true guys,” what! It was not - it is probably still not today - of use between schoolboy showers after the courses, to thirteen or fourteen years. The first boy sex, I thus discovered near this friend of my age, at the Sunday lunches shared between our respective families. For any statement, I had been able to admire his figure perfect during holidays spent at the campsite with Biscarosse one year before. We were put in a caravan, without the question of a two man tent to sleep together as buddies as the teenagers of today do, far from the parents. He had an entirely white bathing suit for the beach, which, once he left the ocean, let his buttocks show through, t unfortunately they were doubled on the front to prevent revealing his sex which however did not cease attracting me. I had tried to position myself each time he changed, hoping that his towel fell inopportunely at a favourable time, but this moment, which would have been a happy one for me, never happened.


I had thus profited without scruple from the continuation of these Sunday appointments between our parents during the following year to work towards my end and to discover the object of my desire. Initially surprised by the game that I had proposed, he had very quickly joined in and had not hesitated to drop his slip, under a cloth judiciously used like mask, to enter my delirium. And it is him who, one day that we had remained only at home, had touched my sex first - yes, him who declared he was excited by the girls in his class - and who had masturbated me, making my sperm gather and squirt, for the first time of my life. It was he who made me discover the most delicious feelings that hitherto I had only taken with my foot as my penis hardened with the dreamed evocation of my class comrades during my sleep.


Our adventure of discovery of our respective bodies and sexuality of the adult world had lasted only a few months. One afternoon when we were locked in his room, he had proposed to kiss me on the mouth. A proposal that I had refused, finding it on the whole too disgusting, our parents had appointed themselves to knock on the door, after we had been denounced by his small sister, the little bitch whom I had many times had a desire to slap for her arrogance and her silliness. We had had to dress at top speed, as we were naked, and I had had to offer a face as red as a tomato to my parents while trying to deny our turpitudes. Always I had never saw him again and twenty years later I do not know what became of him. It was my only sexual adventure, having practiced since then a complete abstinence with any other partner.


I was satisfied from time to time by looking at erotic and books of photographs of naked men, bought quietly and conscientiously locked up with a double turn in a wall cupboard at home. The recognition of my sexual orientation, homosexuality, was particularly painful besides and I do not even speak about coming out near my entourage. I indeed vainly tried to persuade myself that I could be as everyone - i.e. heterosexual - while trying to find a young woman. I even yielded to temptation to register with a marriage bureau; it cost some to me nearly thousand Euros. But from the outset when the pleasing owner wanted to organize dates for me, I had to resolve to recognize that it was definitely not for me. At 24 years of age, I then admitted, not without undergoing a great deal of suffering, that I was homosexual and that finally I was to accept it. Even the word up to that point filled me with horror and I could not utter it, even internally. Not that I felt hate, or even simple reprobation, for this type of behaviour on the part of those of similar persuasion; I could not conceive to be one of them, with all that that implied in my life and my relationship with the others.


Although having reached this important stage of recognition of my preferences, I decided to put my sexual and sentimental life between brackets and to devote myself from now on to develop my professional and social life. I devoted myself in the end to my studies, as a means to gain stable employment. I wanted to build a sufficiently vast house, even if I am to live all alone until the end of my days. So much worse for the scandalmongers that I intended once to point out, so as to discrete sorrow, than it was surprising that a lone man lived such a large house, whereas so many others were less well off! I also had in my heart to involve myself in community life, multiplying my responsibilities and the handshakes given by taking part in local activities and to set up the local demonstrations. I even succeeded in being elected, so like a simple adviser but all the same, within my community’s town council. Concerned not to stand out, no matter what it cost me I took the guise of normality. I took care during all these years to remain discrete and very private about my love life. I never contradicted that I could be a promising party for a young and pretty woman or what joy I could get for my friends if ever I decided finally in favour of a good marriage…


Various recent professional vexations, and an irritability less and less easily controllable of the fear of finding myself entirely alone, early or late. I am an only child and rather reclusive - obliged to react at the dawn of my thirty-two years. I aspired to know the feeling of love finally and I felt ready and perfectly able to support the life - and the routine - of an existence with a partner. I wanted of sex! I wanted early mornings shared under the duvet! I wanted powerful arms to enfold me! I wanted to feel liked…
 
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