The Original Gay Porn Community - Free Gay Movies and Photos, Gay Porn Site Reviews and Adult Gay Forums

  • Welcome To Just Us Boys - The World's Largest Gay Message Board Community

    In order to comply with recent US Supreme Court rulings regarding adult content, we will be making changes in the future to require that you log into your account to view adult content on the site.
    If you do not have an account, please register.
    REGISTER HERE - 100% FREE / We Will Never Sell Your Info

    To register, turn off your VPN; you can re-enable the VPN after registration. You must maintain an active email address on your account: disposable email addresses cannot be used to register.

Et si on parlait français ?

@Frenchie

J'adore ces termes. Il y a tante, mais il manque tantouze, en revanche il ya tarlouze.

Le plus éculé est enculé. On l'utilise toujours, partout, pour tout et à propos d'absolument tout. Dans les cités, on n'entend que ça. C'est une obsession générale.
 
LE TRES BEAU ET LE QUEUETARD

Maître Très Beau, sur un arbre perché,
Tenait en sa main son paquetage.
Maître Queuetard, par la vue alléché,
Lui tint à peu près ce langage :
"Hé ! bonjour, Monsieur Très Très Beau.
Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau !
Sans mentir, si votre musclage
Se rapporte à votre paquetage,
Vous êtes le Phénix des dragueurs de ces bois."
A ces mots le Très Beau se prend bien par les deux;
Et pour montrer sa belle queue,
Il baisse bas le froc, exhibe son beau noeud.
Le Queuetard s'en saisit, et dit : "Mon bon Monsieur,
Apprenez que tout suceur
avale les sucs sacrés de chaque biroute,
mais ça vous le saviez déjà, sans doute. "
Le Très Beau, heureux et repu,
Jura que chaque mec aurait son prépuce.

Voilà enfin l'original du corbeau et du renard révélé au grand public. Ce fut un secret bien gardé. Les ébats des gentilhommes dans les bois de Versailles inspirèrent le poème à La Fontaine, qui dut cependant le travestir en son contraire. Moeurs obligent.
 
LE TRES BEAU ET LE QUEUETARD

Maître Très Beau, sur un arbre perché,
Tenait en sa main son paquetage.
Maître Queuetard, par la vue alléché,
Lui tint à peu près ce langage :
"Hé ! bonjour, Monsieur Très Très Beau.
Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau !
Sans mentir, si votre musclage
Se rapporte à votre paquetage,
Vous êtes le Phénix des dragueurs de ces bois."
A ces mots le Très Beau se prend bien par les deux;
Et pour montrer sa belle queue,
Il baisse bas le froc, exhibe son beau noeud.
Le Queuetard s'en saisit, et dit : "Mon bon Monsieur,
Apprenez que tout suceur
avale les sucs sacrés de chaque biroute,
mais ça vous le saviez déjà, sans doute. "
Le Très Beau, heureux et repu,
Jura que chaque mec aurait son prépuce.

Voilà enfin l'original du corbeau et du renard révélé au grand public. Ce fut un secret bien gardé. Les ébats des gentilhommes dans les bois de Versailles inspirèrent le poème à La Fontaine, qui dut cependant le travestir en son contraire. Moeurs obligent.

C'est excellent :)
 
Le plus éculé est enculé. On l'utilise toujours, partout, pour tout et à propos d'absolument tout. Dans les cités, on n'entend que ça. C'est une obsession générale.


En même temps, avec notre président actuel et son gouvernement, ça fait 5 ans qu'on se fait enculer... :grrr:
 
En même temps, avec notre président actuel et son gouvernement, ça fait 5 ans qu'on se fait enculer... :grrr:

Dommage que ce soit abstrait.... Parce que je me ferais bien laurent wauquiez moi!!:sex:
 
Bon, ce n'est pas gay mais c'est pas mal quand même :

Il avait l'air malheureux
Assis sur le palier
Je le connaissais un peu
Je lui ai dit de monter.

Mains menottés
Derrière le dos,
Son père l'avait laissé
depuis le matin tôt.

Il s'assit dans le salon
J'allais à la cuisine
J'entends le pauvre garçon
Qui se plaint et rumine.

Je m'approche doucement
Curieuse et inquiète
Il me dit timidement
Qu'il doit aller aux toilettes.

Il me regarde implorant
Et on se sent très gênés
Je l'entraîne lentement
Jusque dans les WC.

Je me tiens à ses cotés
Et déboutonne sa braguette
Puis ma main va chercher
son zizi, sa quequette.

Quand je le prends en main
tous mes poils se herissent
C'est encore un gamin
Quel énorme penis!!

Je lui sors la queue
Avec un peu de mal
Je n'en crois pas mes yeux
C'est une queue de cheval!

Il me faut les deux mains
Pour lui dégager le gland
Qui apparaît soudain
Bien lisse et luisant.


Une fois soulagé,
Je lui secoue la queue
Qui se met à enfler
Et grossit peu à peu.


Là je m'agenouille
Et la détaille longuement
Je dégage ses couilles
Et les serre doucement.

Sa queue devient énorme
Pas très longue mais épaisse
D'une très jolie forme
Qui raidit et se dresse

Je le regarde dans les yeux
Et approche ma bouche
Son gland enfle encore un peu
dès que je le touche.

De mes deux mains
Je coulisse sa peau
J'essaie mais en vain,
Il est trop gros.

Je le ramène jusqu'au salon,
Et l'assois au bord du divan
Je lui baisse le pantalon,
J'enlève slip et collant.

Au dessus de lui, jambes écartées
Je me caresse avec sa grosse queue.
Bien que ma chatte soit toute mouillée,
M'empaler dessus serait monstrueux.

Alors je pivote, me mets sur le coté
Avec mes mains J'ouvre ma chatte,
Me pose sur son gland sans appuyer,
Recouvre de mes lèvres cette boule écarlate.

Tout doucement je descend,
Et jusqu'à la garde je l'enfonce en moi.
Au centre de ma chair un afflux de sang
Et une secousse me font gémir tout bas.

Ma chatte explose et se vide
Mais l'emboîtement est si fort
Que de tout mon brûlant liquide
Pas une seule goutte n'en sort.

Ma peau se détend peu à peu
Et je coulisse sur son membre en douceur.
Je suis remplie de sa queue
Sur toute ma voûte intérieure.

Ce gros morceau de chair en moi
Gonfle et bat comme un coeur
Je sens sur toutes mes parois
Se répandre une chaude liqueur.

Les battements de sa queue
Accentuent la cadence,
Nos liquides se mélangent entre eux,
Je perds connaissance.

Je me réveille, allongée sur le canapé,
Un lait encore tiède entre les cuisses,
Je me lève et ouvre la porte d'entrée,
Assis sur le palier, il me jette un regard complice.
 
C'est excellent. C'est vraiment mettre un mec la main au goupillon, une chose que j'adore. Pas d'histoires compliquées, simplement je te mets le main au goupillon, mec.
 
Les mecs déambulent.
Ils se hument, s'allument,
baissant droit le froc
pour touches reciproques
où bientôt ils accouchent
de jus à la louche
des tréfonds du coeur
dans de chauds labeurs.
 
Les couilles sont moîtes.
Les queues sont raides.
Les mecs s'emboitent
dans la pinède,
où leurs arrière
grands grand-tontons
et leurs grand-pères
offraient le con
depuis des âges
aux plus grands frères
pour enculages,
se firent traire
à queue-leu-leu
à suffisance
la très grosse queue.
Cure de jouvence.
 
Je n'aime pas les termes dérogatifs ou péjoratifs inventés par nos ennemis. Pourquoi les employer ? Pour les conforter dans l'image qu'ils ont de nous ? Je préfère inventer mes propres mots, comme Androphile. Se dire qu'on revendique les mots malpropres des ennemis afin de s'en faire des boucliers, des mots à revendication est très limité pour moi, surtout avec la morale qui progresse, surtout auprès des jeunes qui sont de plus en plus acceptant.

Alors quand j'entends "pédé", eh bien je m'oppose. Le combat pour l'égalité ou l'inintérêt passe aussi par les mots.

PS : désolé j'ai rarement l'idée de passer par ici, honte à moi !
 
Je n'aime pas les termes dérogatifs ou péjoratifs inventés par nos ennemis. Pourquoi les employer ? Pour les conforter dans l'image qu'ils ont de nous ? Je préfère inventer mes propres mots, comme Androphile. Se dire qu'on revendique les mots malpropres des ennemis afin de s'en faire des boucliers, des mots à revendication est très limité pour moi, surtout avec la morale qui progresse, surtout auprès des jeunes qui sont de plus en plus acceptant.

Alors quand j'entends "pédé", eh bien je m'oppose. Le combat pour l'égalité ou l'inintérêt passe aussi par les mots.

PS : désolé j'ai rarement l'idée de passer par ici, honte à moi !


Je comprends ton point de vue mais je ne le partage pas pleinement.
Je pense que c'est un débat sans fin dans le sens ou la perception de chacun est vraiment différente de celle de son"voisin".
Bien que je me déclare bi, je suis plutôt investi dans des relations gays en général.
Pour autant, j'abhorre vraiment ce mot car il est trop policé, voire aseptisé.
Se dire gay pour être dans la "norme" ne me plait pas du tout.
Et puis nos ennemis, on les emmerde...
Après, tout dépend où l'on habite, il est vrai.

PS : tu passes ici quand tu veux ;)
 
D'autre part. J'aime la France :-)

Je souhaite avoir eu des amis francais gays quand je vivais a paris.
 
Vous faites grève les mecs ?
Il suffit que je m'absente et les francophiles se laissent empapaouter par les anglo-saxons !
Que nenni ! Nous résisterons ;)
 
Ici? Je ne parle pas français bien, mais j'étudie français dans l'université. Éstat-Unis est mauvais endroit pour apprendre à parle français.
 
Back
Top